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Amos, la ville où il fait mieux vivre en Abitibi-Témiscamingue

La ville d'Amos en automne, la cathédrale Ste-Thérèse d'Avila en premier plan.
Amos est la ville d'Abitibi-Témiscamingue où il fait mieux vivre selon le palmarès annuel de L'Actualité.PHOTO : gracieuseté François Munger
Publié le 7 novembre 2019

Le palmarès de la revue L'Actualité (Nouvelle fenêtre) place Amos comme ville où il fait mieux vivre en Abitibi-Témiscamingue. Au Québec, Amos se classe en 17e position, suivie de Rouyn-Noranda en 20e place et de Val-d'Or au 37e rang.

Je suis très heureux, c'est signe que les actions qu'on pose année après année, ça porte fruit, ça fait la différence, commente Sébastien d'Astous, maire d'Amos. Il fait entre autres référence aux services de proximité en culture, sports et loisirs, mais aussi à la revitalisation du centre-ville et aux améliorations pour la sécurité des piétons.

Développement économique et culturel

Le propriétaire de MédiAT, François Munger, souligne notamment la vitalité économique d'Amos, une ville de plus de 12 000 habitants. On a vu plusieurs projets, autant au niveau privé que public, dans les dernières années. On pense entre autres au Théâtre des Eskers qui a été rénové, la passerelle Ulrick Chérubin qui a été construite, le Carrefour santé qui a été construit, le complexe sportif qui a été refait, on est en train de construire une Maison des jeunes au goût du jour à la suite de l'incendie qui a eu lieu, l'aéroport a été refait, énumère-t-il.

Une photo de drone de la ville d'Amos au-dessus de la rivière Harricana.

La ville d'Amos vue des airs.

gracieuseté François Munger

Le développement culturel de la ville a aussi connu un essor dans les dernières années. Entre autres la FÉE, qui est un festival un peu plus émergent qui est né il y a quelques années, qui est venu bonifier l'offre culturelle. Il y a aussi de nombreux événements culturels tout au long de l'année au Théâtre des Eskers ou à H2O le Festival l'été. Il y a de nombreux événements qui s'ajoutent à tout ça tout au long de l'année et il y a de nombreuses personnes qui s'impliquent. Chaque année, on le voit dans ces événements-là, il y a de nombreux bénévoles qui font cette vitalité-là dans le milieu d'Amos, ajoute François Munger.

Le palmarès de L'Actualité

Parmi les critères évalués dans le classement des villes, notons l'accès à la propriété, l'accès à des professionnels de la santé et la fierté des habitants. Un palmarès, c'est un outil qui est subjectif, rappelle Marie-Hélène Proulx, journaliste de L'Actualité. On a choisi tels critères, mais si on en avait choisi d'autres, le palmarès aurait changé de visage. C'est notre première édition et c'est probablement quelque chose qui va revenir chaque année et ce n'est pas exclu qu'on change les paramètres.

L'Actualité s'est basée sur le palmarès annuel du magazine Maclean's, en extrayant les données relatives au Québec. On réfléchit à des façons de l'emmener encore plus loin, précise Mme Proulx.

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