L’agriculture urbaine bruxelloise aussi est en souffrance
Il est une exception en Région bruxelloise. Au milieu des champs et des serres du Chant des Cailles, à Watermael-Boitsfort, Martin Philippart est agriculteur professionnel. Ils ne sont qu’une poignée dans la capitale, même si 400 personnes sont impliquées, même à temps partiel, dans la filière agricole. A l’instar de leurs collègues wallons, flamands et européens, il peine à joindre les deux bouts et subit de nombreuses contraintes. Au milieu de la colère qui s’exprime depuis près d’un mois, leurs spécificités font que leur voix se fait difficilement entendre. A l’approche des élections, ils haussent aujourd’hui le ton.
Accédez à l'information nationale et internationale vérifiée et décryptée 1€/semaine pendant 4 semaines (sans engagement)
Avec cette offre, profitez de :
L’accès illimité à tous les articles, dossiers et reportages de la rédaction Le journal en version numérique (PDF) Un confort de lecture avec publicité limitée
Pour poster un commentaire, merci de vous abonner.
S'abonnerQuelques règles de bonne conduite avant de réagirPostez le premier commentaire